Émile Mompart, né le 3 mai 1898 à Salviac dans le Lot et mort le 8 novembre 1972 à Montréjeau, est un sculpteur français du XXe siècle.
Biographie
Émile Mompart, fils d’un tailleur de
pierre, fait des études à l’École
supérieure des beaux-arts de Toulouse interrompues par la
guerre. À seize ans, il seconde sa mère dans l’entreprise
familiale, son père étant mobilisé. Puis, à 18 ans, il est
lui-même mobilisé, blessé et gazé à l’ypérite2.
Après sa convalescence, il rencontre Auguste
Rodin et Camille
Claudel. À l’occasion d’un concours, il exprime ses convictions
pacifistes. C’est à lui que plusieurs maires du Lot et de la
Dordogne s’adressent pour les monuments aux morts de leur commune
(Lherm,
Cénac,
Vitrac,
Saint-Aubin-de-Nabirat,
Figeac),
et plus tard Cahors
pour certaines sculptures. Il décède en 1972. Sur sa tombe, pas de
croix : « elle est assez lourde à porter durant sa vie,
je n’en veux pas quand je serai mort. »
Il réalisa en particulier le monument aux morts de Lavercantière dans le Lot, érigé en 1924. Le sculpteur a représenté une humble femme, le visage baissé et les mains jointes dans une attitude de recueillement. Sur la base, deux faces sont sculptées et représentent des militaires. Il y est inscrit Paoures droles (pauvres enfants).
Depuis
plusieurs décennies les Dieux des temps anciens avaient
progressivement disparu des radars : le Dieu des Chrétiens dont
je fais partie, mais aussi des autres religions, sans oublier les
différents dieux des païens. Ils avaient été au fur et à mesure
remplacés par des Dieux beaucoup plus modernes, basés sur toutes
les connaissances scientifiques et techniques qui se développaient
et qui allaient à coup sur assurer à toute l’humanité le bonheur
parfait auquel nous n’avions jusqu’à présent pû imaginer le
moindre atome.
Tenez,
les docteurs en sciences biologiques (du moins certains car je ne les
amalgame pas tous) se glorifient du fait que nous devenons tous de
plus en plus vieux ; que encore quelques efforts et nous
rattraperons et même dépasserons Mathusalem, lequel ne fera plus
figure que de gamin mort prématurément faute de soins adaptés.
Il
n’y aura plus de famine , il suffit de modifier, reformater la
nature pour qu’elle produise tout ce dont nous avons besoin .
Nous
pourrons aller vivre sur des exo-planètes voisines (juste quelques
centaines d’années-lumière) sélectionnées pour l’abondance de
biens et la douceur de vivre qu’elles seront susceptibles de nous
procurer
(En attendant d’en arriver à
ces temps merveilleux, nous sommes égoïstement préoccupés par le
pouvoir d’achat de nos retraites qui baisse (réévaluation
insuffisante, impôts, taxes et autre CSG qui sont prélevés.)
Pour mémoire: 1 AL = 10 000
000 000 000 (dix mille milliards) de Kms (approximativement).
ET
PUIS PATATRAC !
DU
JOUR AU LENDEMAIN TOUT EST A RECONSIDERER !
Voici
qu’un nouveau virus, encore inconnu il y a six mois, allait nous
rappeler de façon brutale, que les vieilles malédictions n’étaient
pas encore caduques :
Car posca siás
e a la posca tornaràs. (Genèse
3-19)
Car tu es poussière et a la
poussière tu retourneras
Totis tornam d’ont sem
sortits (Félibrige
Auguste Quercy)
Nous retournons tous là d’où
nous sommes sortis
Ou,
comme disait plus simplement ma grand-mère :
Mon petit, dès le jour ou tu
naît, t’es déjà condamné à mort !
Bon,
ceci dit venons-en aux choses sérieuses :
Une
première réflexion m’envahit l’esprit Comment se fait-il qu’on
peut voir ce qui se passe à une centaine d’AL d’ici, alors qu’on
ne peut pas voir en temps utile un virus pourtant observable avec un
simple microscope électronique? Mais ceci est une question
secondaire.
J’ai
connu il y a une cinquantaine d’année une personne qui était
médecin et qui se passionnait pour la recherche. C’était l’époque
du SIDA . Les chercheurs, Californiens surtout, expliquaient que
cette maladie était due à des pratiques sexuelles contre nature
(zoophilie, sodomie …) faites par des personnes revenant
d’Afrique. Pas du tout m’expliquait cette personne. Il ne
s’agissait là que de vecteurs de transmission. La vraie raison
d’après elle, était qu’il y avait une écologie microbienne ou
virale, et que l’éradication brutale de certaines maladies en
Afrique favorisait l’apparition d’autres maladies inconnues
jusque là.
Je
ne suis pas qualifié pour savoir si cette théorie est valable ou
pas . Néanmoins plusieurs évènements survenus depuis depuis cette
époque-là semblent aller dans ce sens. Allons-y pour quelques
exemples.
La guerre des quatre fléaux conduite par MAO en CHINE :
Vers
1960, MAO, Grand Timonier de la Chine constata qu’il y avait 4
fléaux qui entravaient le bonheur du peuple : les moineaux,
les rats, les insectes, les puces et qu’il
fallait les éradiquer.
Je
m’en tiendrais uniquement à la guerre faite aux moineaux. Ces
bestioles étaient accusées de manger au moins le quart de la
récolte de riz, il fallait dons les éliminer du territoire chinois.
Et on ne lésina pas sur les moyens : on distribua aux jeunes
des frondes pour tuer les moineaux à coup de pierres ; ordre
fut donné à l’Armée de tirer sur tout ce qui volait (il n’y
avait pas encore beaucoup d’avions dans le ciel chinois) et ceux
qui n’avaient rien d’autre devaient taper sur des casseroles pour
que le moineaux ne puissent pas se poser et ainsi tombaient morts
d’épuisement.
Cette
guerre des moineaux mais aussi des autres fléaux ne tarda pas à
être gagnée. MAO fut auréolé en tant que chef suprême,
comparable aux autres Géants de l’Histoire : RAMSES II,
ALEXANDRE le Grand, CESAR et j’en passe.
Mais
la gloire fut de courte durée .
Il
s’avéra que les moineaux ne mangeaient pas tellement de riz, mais
plutôt un insecte qui dévastait les récoltes . S’en suivit dès
la première année une famine épouvantable.
Si
l’on ajoute tous les dégâts provoqués par la lutte contre les
autres fléaux (DDT, poisons et autres pesticides), nous avons toutes
les conditions idéales pour l’apparition d’épidémies en
Chine.
Ainsi
apparurent les premiers «virus couronne» (en raison de leur forme)
devenu aujourd’hui après mutations le fameux COVID-19 qui sème la
pagaille dans le monde entier.
Mères,
si vous avez des enfants qui aspirent à devenir Grands Timoniers,
dites leur bien ceci s’ils veulent amener leurs passagers et
équipages à bon port :
La
Nature est pour les terriens une Déesse généreuse. Elle a
construit un monde ou chaque être vivant a sa place, du plus petit
au plus grand. Elle a établi un système complexe de prédation ou
chacun peut se nourrir tout en préservant l’espèce voisine.
Mais
attention, elle peut devenir très courroucée si on ne respecte pas
ses lois . Le Timonier MAO s’est cru être devenu Dieu et a
combattu des lois essentielles de la nature. Le résultat a été
sévère pour son peuple et son pays.
Autres
maladies dues au non-respect par les hommes des lois de la
nature :
Maladie de la vache folle : Certaines vaches attrapaient
un parasite appelé Varon. Une mouche déposait des œufs sur la peau
des vaches. Après éclosion les larves trouvaient le moyen de
pénétrer dans le corps de l’animal ou elles se développaient.
Elles se dirigeaient ensuite vers le dos d’où elles
transperçaient la peau pour ressortir en tant qu’animal parfait.
Les inconvénients sanitaires étaient assez réduits, par contre les
pertes pour l’éleveur étaient non négligeables : cuirs
devenus invendables bien que les tanneries utilisaient des peaux
importées d’Argentine; perte de rendements en lait ou en viandes.
Mais en ces périodes de productivité agricoles maximales, (nous
étions pendant les trente glorieuses) il fallait à tout prix
éradiquer ce fléau. Le seul remède efficace trouvé fut, pour
faire court, de faire absorber aux vaches des insecticides
systémiques mélangés à leur alimentation (déjà industrielle
à l’époque).
Inconvénients:
–
Nous avons absorbé pendant des années du DDT imbibé dans notre
viande de boeuf.
–
Les bouses de vaches étaient aussi imbibées d’insecticides. Or
ces déchets étaient transformés par les bousiers . Ce sont des
insectes coléoptères magnifiques de la famille des scarabées. Nous
les enfants nous aimions bien aller soulever les bouses sèches pour
en recueillir aux fins de collection.
Donc
plus de bousiers = les bouses ne sont plus décomposées =
envahissement d’insectes et autres vrais fléaux nettement moins
sympas = apparitions de maladies jusqu’alors inconnues dont le
fameux prion de la vache folle .
Prion
qui va amener chez l’homme la maladie de Kreutzfeld-Jacob (MKJ).
Maladie qui atteignait des sommets dans le domaine de l’horreur.
Les
processus ci-dessus avaient été exposés par des scientifiques
anglais mais qu’on n’a pas écoutés.
Aujourd’hui
il ma été impossible de trouver des explications par les moteurs de
recherche Internet.
On
ne nous dit pas tout !
Que sera l’après Coronavirus
D’après moi il y a une réponse claire : Comme avant.
Les exemples ci-dessus nous montrent qu’il faut toujours rester
modestes devant la nature, la respecter, ne surtout pas essayer de la
violer. Contrevenir à ses lois et elle peut nous envoyer des
maladies, des guerres des famines, selon des procédés que nous ne
comprenons pas et dont elle a le secret.. :
Or pour moi la nature n’a jamais été autant violentée que ces
trente dernières années.
– Disparition massive des oiseaux et des insectes : pas besoin
d’études savantes, étant confiné chez moi, je m’en aperçois
tous les jours dans mon jardin.
– réduction drastique de la biodiversité : là il faut
regarder un peu plus loin que chez soi : augmentation des
populations urbaines avec pour corollaire extension des routes, des
centres commerciaux avec leurs parkings, des centres médicaux au
sens large, des installations sportives en tous genres :
terrains de foot-ball, parcours de golf etc. ..
– malgré l’engouement pour les méthodes bio, on assiste chez les
jeunes générations à une aversion pour le travail de la terre
(pénible et peu valorisant). En conséquence, quand on a pas de main
d’oeuvre il faut mécaniser. Et on s’en est pas privé. Là ou
autrefois on avait des petites parcelles entourées de haies, on n’a
plus aujourd’hui qu’un immense champs traversé par d’énormes
attelages mécaniques n’autorisant pas la moindre biodiversité.
On pouvait trouver parfois une belle forêt avec des essences
diversifiées, une faune et une flore remarquables. Aujourd’hui des
coupes rases ont été effectuées avec d’énormes machines
monstrueuses et on a refait une plantation en mono-espèce bien
alignées en vue de favoriser les récoltes ultérieures. Et foin du
romantisme et de la biodiversité!
– instinct grégaire et donc augmentation des grandes mégalopoles,
– les éclairages de nuit nuisent gravement à la faune nocturne qui
finit par disparaître.
– préférence pour les emplois urbains au détriment des emplois à
la campagne,
– continuation de la civilisation des loisirs avec pour conséquence :
bétonnage des côtes et des sites remarquables, etc…
– pollution de l’air, des mers et océans.
– et j’en passe et des meilleures … !
– Bref, n’en jetons plus. Mais ne nous moquons pas non plus de la
guerre de MAO aux moineaux et autres fléaux, nous avons déjà fait
mieux en Occident.
Conclusion
Je ne sais pas quand et comment nous allons sortir de la présente
période de confinement; d’ailleurs ce n’est mon propos.
Mais un vrai changement vis à vis de pandémies comme celle que nous
vivons dépend de chacun de nous. Les politiques, les décideurs
n’essayent au mieux que de prendre une base médiane par rapport à
leurs administrés. Et encore en se basant maintenant sur ce qui se
dit sur les réseaux sociaux. Ce qui n’est pas une référence :
une connerie répétée des millions de fois n’en fait pas une
vérité.
Mais pour en finir je voudrais m’adresser aux frères humains qui
après nous vont vivre : il est un problème dont souffre déjà
notre planète : la surpopulation . Réfléchir comment le
résoudre me donne le vertige.
La population de notre terre double à peu près tous les trente
ans !
Nous sommes environ 8 milliards aujourd’hui . Combien serons nous
en 2100 ?
Prenez vos règles à calcul. Pour moi mes neurones sont en
surchauffe .
Adissiatz
J’aurais aimé tenir ces propos avec des copains accoudés
au zinc du Bar des Platanes. Mais allez
en trouver un par les temps qui courent ?
Alors j’ai discuté seul avec moi-même devant mon ordinateur .
Avril 2020
Voici quelques images
propres à agrémenter mes propos
Lucane
Ce Lucane Cerf-volant nous a rendu visite le 22 juin 2008
Ici un beau mâle, un des plus gros insectes de France . Chaque
carreau de la nappe de jardin ou il s’est posé mesure 2cm.
Malgré ses mandibules impressionnantes, n’est pas du tout agressif
ni dangereux. Se laisse facilement attraper.
Plus revu depuis cette date. En cause : urbanisation de notre
quartier, destruction de haies avec de vieux arbres.
Orycte nasicornis
Voici un Orycte nasicornis ou Scarabée Rhinocéros. Nous en avons trouvés en 2009 dans un tas de vieux bois en décomposition.
Revu une fois depuis. Devenu rare
La cause est assez mystérieuse pour moi, même si c’est un peu la même que pour le lucane.
Et pour terminer un petit peu de poésie dans un monde de
brutes :
Ces orchidées sont arrivées
spontanément sur une petite parcelle que j’avais achetée il y a
une trentaine d’années pour agrandir mon jardin et qui recevait
auparavant force débroussaillant et désherbant sélectif pour faire
pousser du maïs …
Les dix premières années
rien n’avait poussé, même pas l’herbe.
Orchidée Abeille
Ophrys abeille (Orchidée abeille)
Plante sauvage.qui ne pousse que là où elle veut.
KODAK Digital Still Camera
Orchys mascula : (orchidée mâle)
Cette orchidée sauvage se rencontre de plus en plus au gré des nouvelles façons culturales (fauchages tardifs notamment)